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Flash infos
Publié le – Mis à jour le
Les travaux exécutés sur des constructions existantes ayant pour effet la création soit d'une emprise au sol, soit d'une surface de plancher inférieure ou égale à 40m² : quel que soit l’usage (habitation, garage, dépendance, abri de jardin, véranda…) ; quel que soit l’endroit (visible ou non de la rue) ; quel que soit le mode de construction (avec ou sans fondation, ouverte ou fermée) ;
Toute modification d’aspect extérieur d’une construction : ravalement de façade ; création, remplacement ou suppression de porte, fenêtre… ; réfection de couverture (exemple : remplacement de la tuile par de l'ardoise, pose de châssis de toit, panneaux solaires…) ; Réfection ou édification de clôture : en maçonnerie, grillage, panneaux bois, portillon, portail… ainsi que toute modification de l’aspect de la clôture existante.
Les travaux exécutés sur des constructions existantes ayant pour effet la création soit d'une emprise au sol, soit d'une surface de plancher supérieure à 40m².
Les constructions nouvelles ayant pour effet la création soit d'une emprise au sol, soit d'une surface de plancher supérieure à 20m².
Tout changement de destination d’une construction existante (exemple : transformation d’un commerce en habitation).
Précisions : le recours à un architecte est obligatoire si la construction projetée fait plus de 150 m² de surface de plancher ou si l’extension d’une construction existante porte le total de la surface (existant + projet) à plus de 150 m².
Toute démolition, totale ou partielle, d’une construction : quel que soit l’usage (habitation, dépendance…) ; quel que soit l’état (délabré ou non) ; quelle que soit la surface et lorsque la propriété est située dans le périmètre de protection des monuments historiques (voir le PLU, plan des servitudes).
La suppression d’une clôture n’est pas soumise à dépôt d’une demande de permis de démolir.
Le délai de prescription est le temps au-delà duquel vous ne pouvez plus exercer une action en justice.
Cela veut dire que si vous introduisez une action justice après l'expiration du délai de prescription prévu pour cette action, elle sera déclarée irrecevable, et elle ne sera donc pas examinée.
En matière d'assurance auto, le délai de prescription est de 2 ans.
Ce délai court à partir de la date de l'événement qui justifie la demande (par exemple, accident de la circulation, décision de refus d'indemnisation de l'assurance, action judiciaire d'une partie adverse etc...).
Cela veut dire que si vous voulez réclamer en justice un droit tiré de votre contrat d'assurance auto, vous devez le faire dans les 2 ans suivant la date de l'évènement qui est à la base de votre demande.
Par exemple, pour une demande d'indemnisation suite à un litige, l'évènement à la base de la demande est le sinistre (accident, vol, vandalisme, etc....).
Cela veut dire aussi que si l'assureur veut réclamer en justice un droit tiré du contrat d'assurance auto, il doit le faire dans les 2 ans suivant la date de l'évènement qui est à la base de sa demande.
Par exemple, pour une réclamation de reliquat de cotisation, l'évènement à la base de la demande est le non-paiement à la date d'échéance.
Le délai de prescription de 2 ans peut être interrompu par l'un des événements suivants :
Action en justice
Désignation d'un expert à la suite d'un sinistre
Lettre recommandée ou envoi recommandé électronique de l'assureur concernant le paiement de la prime
Lettre recommandée ou envoi recommandé électronique de l'assuré concernant le règlement de l'indemnité
L'interruption entraîne l'annulation du temps déjà écoulé, et un nouveau délai recommence à courir à partir de la date de l'acte interruptif.
Le service urbanisme apporte conseils pour la constitution du dossier (uniquement sur rendez-vous).
Adresse : Place de l'Hôtel de ville 76300 Sotteville-lès-Rouen